En'Dalar Sauren (En cours)

Nom : En'Dalar

Prénom : Sauren

Age : Ayant l'apparence d'une jeune fille de 21 ans et un mental d'une gamine de 5 ans, ainsi qu'une longévité propre aux elfes, il est treès difficile de se prononcer sur son âge.

Race : Elfe !

Alignement : Comme bon nombres d'elfes, elle est pour la "Peace And Love" attitude, du moins dans le temps...

Classe de Combattant : Rodeuse/mage.

Clan : Neutre.

Inventaire : Comme toutes elfe se réspectant, elle n'utilise guerre d'objet et se les fournis d'elle même avec la nature. Elle se balade pourant constament avec ses armes, et sa "meilleur amie". Elle possède tout de même une corde élfique, et un carquoi spécial...

Fortune : La fortune concrète n'est rien pour un rodêur.

Armes : Là se complique l'affaire... Sauren est très spéciale comme rodeuse, mais surtout comme elfe! Toutes personnes decrivent les elfes comme des archers hors pair, ne quittant jamais son carquoi, ayant pour devise: "Une fléche, un mort". Avec Sauren la devise ne change pas, mais le mort si... Depuis toujours, Sauren s'entraine au tir à l'arc avec celui de sa famille, comme le veut la tradition, seuleument une "malédiction" semble s'être abbattue sur sa famille. Depuis le commencement, la famille En'Dalar, semble totallement inconpétente dans la maitrise d'un arc, pourtant chaque membre de la famille prétendent être bien meilleur que tous les autres. Et lors du rituel remettant l'arc à sa progéniture, ils sourient en le donnant, enlevant toute inquiétude du visage de l'enfant. Cet arc semble donc être plus ou moins spécial, et beacoup abandonnent en le ressevant, mais Sauren, elle, se sert carement de son carquoi comme dans un récipient. Dedans trainent nombre de conneries inutiles, mais pas une seule fléche... Elle à tout de même plus d'armes à sa dispotion, car si elle n'est pas franchement doué dans le maniment d'un arc, une épée entre ses mains, et c'est autre chose. Elle est éxtrement compétente avec son katana, deuxième objet de la famille, qui cette fois semble bénit et non maudit. Chaque membre se faisait passer leurs techniques à leurs déscendance, chaque fois, il devenait plus doué au fil des années, et leurs talent dans ce domaine faisaient oublié l'amertume des blessés lors de l'entrainement à l'arc... Sauren à aussi deux dagues tout à fait banales, achetées au marchand du coin.


Pouvoirs (ou dons): Sauren maitrise pleinement la zoomorphie, et peut se transformer en toutes sortes d'animaux.

Description physique : Des cheveux bruns, une silhouette élegante, une lame dorée sous une lune d'argent, un pas serein, une agilité divinie, et une beauté immortelle. Voici en gros, la description de Sauren, une elfe comme les autres ou presque... Comme bon nombre d'elfes, Sauren porte une tenue de soie pure, reflettant les rayons de la lune dans ses yeux argents. Sa peau est blanche comme de la neige, et sa tenue verte comme la nature, mère de tous. Lorsqu'on la voit manier son sabre, en équilibre au dessus de rocher, lorsqu'on voit ses deux rubans attachés au fourreau peine à suivre ses mouvement divins, alors là, on se sent en parfaite confiance, avec harmonie nous nous levons, et la suivons jusqu'au bout du monde. Et vint l'aube, nous nous faisons réveillés par les rayons produit par le lever du soleil, nous repensons à cette envouteuse de la nuit dernière, nous nous efforcions de repenser à cette divine créature de la nuit précédente. Alors avec nostalgie, nous prions de la revoir cette nuit, et de ne plus la perdre quels qu'en soit les sacrifices voulus. Voici le comportement que ressentent les hommes la voyant de nuit, maintenant voicis ceux l'ayant vu le jour:

Nous nous levons avec peine, nous titubons consternés, nous efforcions de penser à autres choses, nous en venons à soupsonner quiconque approchant de nous, nous sommes en état de choc, ne faisons plus confiance qu'a nous même, suivant notre propez voie sans regarder au delas, priont pour que le crépscule arrive. Et lorsqu'il arrive enfin, nous nous endormons avec une certaine satisfaction, ne préférant pas penser des évenement survenant après l'aube... Et oui, on dirait que le crépuscule la métamorphose en déesse, alors que le jour . . .

Description Psychologique : Comme vous l'avez sans doute compris, Sauren semble noctambule, mais pas seuleument, car le soir venu, cette jeune fille à l'air ahuri se transforme en une femme accomplie.Comment penser que la jeune fille, vous ayant percé les deux yeux avec un arc le jour, se tient devant vous et vous emporte dans une danse sans fin la nuit. Est t'elle scyzophrène? Personne le sait, et tout le monde s'en fout. En tous cas, elle ne souvient jamais d'avoir put observer un coucher ou un lever de soleil. Passons donc ces changement soudain de "style". Le jour, même si on voit une belle femme elfique, on se demande si finalement on n'a pas à faire à une gamine de trente ans. Trente ans élfiques, on est d'accord ? Bref, elle n'est pas maligne, un peu débile même, mais elle possède tout de mêmes des qualités. Elle est attachante, généreuse, constamment souriante, toujours active, et surtout altruiste. La nuit maintenant, lorsque le crépuscule arrive, et qu'une lune argentée eclair ses yeux scintillants, ce qu'on peux remarque de suite, c'est qu'elle fait plus femme. Mais elle est aussi bien plus dangeureuse... Remarque non, elle est toujours autant dangeureuse mais elle l'est exprès là. Elle utilise ses charmes et capacités de combat pour obtenir ce qu'elle souhaite, mais elle n'est cependant pas mauvaise, et s'est resté bonne (dans tous les sens du terme xD).

Mais tout ceci fut chamboulé par sa solitude, car elle partie très jeune vivre seule, sans rien. Elle appris à ne faire confiance qu'à elle même, et aux animaux de la nature. Elle respecte normément l'environnement, et sait vivre toute seule, grace à elle. Elle devenue bien plus indépendante, et un peu moins cruche, peut être...

Histoire : Qu'est ce qu'un, nain sans sa hache, guerrier sans son épée, un orc sans sa masse, un gobelin avec de l'intelligence, et un clochard sans sa crasse ? Sont t'ils des abérations de la nature? Comparons les avec les nains à neufs jambes, les hommes poirreaux, et les dévoreurs de chair humaines, et finalement, vous ne trouvez pas qu'ils ne sont pas si différents de nous ? Et bien, Sauren fait partis de ces gens repoussants les autres pour des conneries à la base...

C'est dans une ville élfique tout à fait quelconque que naquit une jeune elfe nommée Sauren En'Dalar. Comme vous avez put le lire, elle dut grandir dans le triste sort que la famille En'Dalar réserve à sa descendance. Depuis toujours, dans son village, la tradition veut que chaque membre d'une même famille se fasse passer un seul et unique arc. Et personne ne sait pourquoi, mais cette famille semble ne pas avoir le moindre talent en matière de tir à l'arc. Chaque membre vivait bien dur, cette malédiction, et la plupart se donnait corps et âme dans le maniement de la lame. Bientot ils se rendirent comte qu'il excéllés particulièrement dans ce domaine, alors leur vie passait mieux. Mais Sauren n'était pas de ce style la, elle avait depuis toujours les mêmes dons que ses aiëux, mais elle se jeta corps et âme dans le maniement de l'arc. Alors, que les enfants de cinq savait toucher une crevette entre les deux yeux dans un lac remplis d'espadons, Sauren elle avait bien du mal... Son entrainement dura toute une matiné, et elle toucha la moitié des autres éleves, brisa la corde trois fois, s'envoya une fleche dans l'oeil six fois, et huit dans celui de son maitre. Bref, elle avait du mal, et s'était percée l'oeil, et celui de son maitre. Elle pleurait lorsque son maitre rigolait, le relevant avec sourrire, lui chuchotant quelques paroles revigourantes. Et hop, Sauren attaquait les yeux des autres... Rien que dans l'éspérance de faire sourrir son maitre, qui la fairait sourrire à son tour. Puis elle revint chaque fois à l'aube s'entrainer avant tout le monde, faisant des entrainement bien plus intensifs que ceux des autres, utilisant toutes les flèches des alentours, retournant les chercher au pas de course, les renvoyant, à chaque fois à cotés de la cible, et ayant les re chercher toujours aussi vite. Voila le rythme effrayné que prenait la vie de Sauren, pourtant, c'est elle qui l'avait choisie cette vie... Seulement survint le "hic" de l'histoire! Et oui, il en faut bien un. Je vous vois venir, vous pensez que son maitre vas mourrir et elle va désertée? Eh bien, vous avez raison, du moins en partis...

Alors qu'une aube se levait timidement, Sauren portait une flèche à son arc, pendant que son maître accourait vers elle. Elle décocha et l'homme était près d'elle, lui annoncant la mort de son père, essayant de la réconfortée entre ses bras, puis quelque chose l'interpella, il vit la flèche planté en plein milieu de la cible. Alors, il ressentint une sensation bien étrange, repoussante car gorgée de mauvais attentions, mais elle produisait une chaleur envoûtante. C'était la mort... Il regarda son sang coulait par terre, et la jeune fille partir en direction de la forêt, avec l'arc et une lame dorée tachée de sang...