Salarël ( En cour )

Nom : Medramalech

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Prénom : Salarël

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Age : 32 ans

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Race : Humain

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Alignement : Neutre, bon

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Classe de Combattant : Rôdeur/Illusionniste

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Clan : Je n'obéit à aucun clan, Ronin de mon état ( Samouraï sans maître ), je ne vit que des rémunérations que me donnent des travails divers en rapport avec mes aptitudes.

Inventaire : Je possède un serviteur nommé Lakirilas, je le surnomme Laki et c'est lui qui porte nos affaires de voyage... une sacoche de nourriture, une outre d'eau et autres objets indispensables au voyages... Je garde sur moi la bourse qui nous permet de vivre.

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Fortune : 500 Po

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Don particulier : Connaissance des bases de la Zoomorphie, permettant à Salarël de comuniquer avec les animaux de son type, pouvant alors se changer en rossignol, il lui ait ainsi aisé de discuter avec tout type de volatile.

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Armes : Comme tout samouraï qui se respecte, Je possède la panoplie de sabre qui accompagne chacun des combattants de ma classe... Un Sabre Nodachi, un Wakisashi et un Tantô

Spoiler:

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But : Aucun si ce n'est continuer de vivre, parcourir ce monde et pourquoi pas aider les faibles lorsque j'en croise en difficulté...

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Description physique : Imposant de par sa taille de son corps ainsi que celle de sa musculature, Salarël impose silence et respect dès qu'il pose le pied sur une terre. Chauve, il à préféré se raser la tête plutôt que de garder la trace de son ancien rang, jadis possédant de long cheveux brun coiffé comme tout ceux de la classe des samouraï en queue de cheval, on la lui coupa pour n'avoir pas su protéger son maître. Il préféra donc se raser la tête plutôt que de conserver la trace de son manque de loyauté, même s'il s'agissait d'une injustice. Manipulateur d'illusion dont certaine mortelle, lorsqu'il use de ses don magiques ou lorsqu'il s'énerve ses yeux semblent s'embraser d'un feu vert mystérieux provoquant chez l'adversaire une peur certaine accentuant l'intimidation naturelle qui émane de Salarël. Revêtant une armure qui ne cache qu'en partie son corps, on ne sait si la raison qui pousse Salarël à ne pas s'offrir de protection digne de ce nom à due sa maîtrise du sabre, pensant qu'il n'en à pas d'utilité car aucun ennemis ne l'a à ce jour touché, ou alors pour simplement exhiber ses tatouages dont ils vante souvent les mérites et leur invente à chacun une signification et une histoire...

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Description Psychologique : Réfléchit et sage, Salarël égal en pensée les grand maîtres des dojos, un homme étrangement calme, presque effrayant par son regard en permanence grave et froid, ce maître épéiste n’use jamais de sa force brute pour nuire au innocents, il ne connaît que trop bien les injustices qui peuvent plonger ce monde dans des ténèbres plus noires que l’ombre. Malgré son aspect bienfaiteur, il n’hésite pas à ôter la vie d’un homme qui l’a contrarié ou offensé, le respect est la dernière chose qu’il réclame de droit car salir ce qui lui reste d’honneur est la chose qu’il ne supporte pas, son honneur… Par le passé bafoué et maudit par erreur, ceux qui remuent le couteau dans la plaie le payent de leur vie dans la minute, ou pire encore, soit voient envoyé dans une illusion tellement puissantes qu'elle détruit leurs esprits à jamais, les rendant en quelque sorte tétraplégique. Lorsqu’on le connaît bien quand on arrive à gagner sa confiance ainsi que son amitié, on arrive pourtant à décrocher le masque blessé que ce samouraï porte en permanence, pour ensuite découvrir un être chaleureux qui n’a ni peur ni honte d’esquisser un sourire…

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Histoire : Salarël, homme de bien et d'honneur, un homme chérissant des qualités tel le courage, l'honneur ou encore le respect et ce bien plus que sa propre personne, un tel homme naquit pourtant dans un pays où toutes ces vertues et valeurs sont bafoués, reniées ou encore salies. Un pays pourtant de légendes et de merveilles, un pays dans lequel bon nombre d'histoires étranges tout autant que mystérieuse ont pris naissance. Un pays alors nommé l'Empire du Dragon, qui dans l'ancien temps était synonyme de paix, prospérité et abondance. Une nation recelant des paysages féeriques, alléchant l'engouement de nombreux voyageurs en quête de magnificence et ravissement... Mais pour une raison inconnue, pour une contradiction ridicule ou de moindre importance, l'empereur changea ses méthodes et ce de la manière la plus radicale jamais connue. Ce doux pays chaleureux et accueillant devient froid, cruel et immoral. Un immense mur fut bâtit en plein milieu de la cité, un barrière séparant nobles et paysans, laissant les un nager dans leurs richesses et et les autres mourir d'épuisement. Ce ne fut que le début d'une longue série de malheurs qui vinrent s'abattre sur l'Empire, ou plutôt sur les paysans du pays car d'innombrables taxes furent mise en place, les affligeant encore plus qu'il ne l'étaient déjà, les enfonçant toujours plus dans la misère et la pauvreté. Contraint à l'autorité de l'empereur, même si nombreuses étaient les personnes qui le pensaient devenu fou, la plupart des puissants de la ville se soumettaient à son autorité et bientôt le rejoignaient dans sa folie. Les faibles eux n'avaient pas assez de puissance pour se rebeler, car samouraï, ninja et soldats sont tous à la solde des nobles paisiblement réfugié de l'autre côté de l'enceinte. Mais parmis ces nobles qui tous pensent corrompu ou avilit, certains croient encore à des valeurs comme l'honneur et l'espoir, ainsi se réunissant en petit groupe secret afin de porter secour au paysans dans le besoin, certaint faisant passer de la nourriture, de l'or ou des armes par dessus le mur d'enceinte, d'autre, comme le grand maître d'armes Huo Watanabe, propose de prendre avec eux des enfants, pour les faire vivre dans son dojo afin de leur apprendre l'art de manier le sabre. Salarël est l'un de ces enfants qui eut la chance de traverser le mur grace à des gardes corrompu, pour ensuite séjourner dans l'école de son nouveau maître.

Accompagné par une centaine d'autre élèves, Salarël suivit l'enseignement du vieux maître durant toute son enfance, croisant le fer avec ceux de son âge, accumulant les passes d'armes pour parfaire un mouvement aussi moindre soit-il, la perfection des gestes était une chose particulièrement appréciée par le vieux maître et par conséquent, particulièrement récompensée. C'est dans cette même optique, dans ce même but que convergent tout les rêves des élèves qui apprennent le sabre. Tous n'aspirent qu'a une chose, devenir puissant et exécuter des mouvement d'une vitesse et d'une perfection telle, que d'un mouvement imperceptible, ils seraient en mesure d'ôter la tête d'un homme de ses épaules, faisant jaillir le sang et répandre la mort pour une cause dite juste. Barbare vous dites ? Il est certes possible voir normal de trouver cela cruel ou horrible que ces enfant fantasme sur la capacité a donner la mort mais dans ce monde déjà ravagé par la guerre, sur cette terre où s'affrontent hordes de démon et régiments d'anges, le fait que des enfant glorifient et fantasment sur les plus grand samurai du monde est une chose des plus normales...

Salarël pourtant savait aisément se démarquer des autres, car là où d'autre mettent des mois voir des années à maîtriser un mouvement crucial, cet enfant alors âgé de 14 ans, assimilait ces derniers à une vitesse fulgurante... Faisant preuve d'une maturité inégalée dans tout le dojo, il ne fallut que peu de temps à Salarël pour devenir le favoris du vieux maître. Donnant naissance à une jalousie commune a tous les autres élèves, les défis étaient nombreux et l'on se hâtait de réclamer l'enfant prodige comme adversaire lors des entraînements, seuls instants où l'on pouvait croiser le fer dans le dojo. Ne sachant jamais réellement ce qu'on lui reprochait ni d'où provenait cette animosité de la part de ses camarades, Salarël se contentait d'accepter les combats et prouver encore et toujours la supériorité de sa maîtrise du sabre. " Je ne sait réellement ce que je fait quand je combat, je me contente de fermer les yeux et me laisser porter par mon instinct, je ne combat pas pour battre mon adversaire, mais pour admirer la grâce de mon sabre danser dans l'air, apprécier le doux tintement métallique de ma lame et ce n'est qu'après avoir contemplé ce spectacle que je réalise que mon adversaire est sur le sol, une étincelle et peur mêlée à une autre de haine dans le regard, ce même regard qui semble à l'égal d'un serpent, ne vouloir que me saisir à la gorge et enfoncer ses crochets mortel le plus profondément possible dans ma chair... ". Ces paroles sorties tout droit de la bouche de Salarël ont été reçues par le vieux maître lors d'un instant de confidence. Le maître Watanabe resta sans voix devant une telle sagesse provenant d'un enfant, resta sans voix devant la puissance et la pureté des mots employés, sans voix mais pourtant n'était pas étonné.Car alors qu'aux moments de temps libre la plupart des élèves partaient arpenter la ville ou s'affairer à des jeux de leurs âges, Salarël lui s'isolait sous l'ombre d'un imposant cerisier, n'ayant alors pour seule compagnie écureuil, moineaux ou autres petits oiseaux peuplant les terres de l'Empire. Comme s'il discutait avec ces animaux, Salarël donnait réellement dans ces moments l'impression d'être l'incarnation d'un sage. Ou plutôt d'un maître de temple bouddhiste, car le dialogue que Salarël entretenait avec les animaux donnait l'illusion qu'il dialoguait plutôt avec les hommes réincarnés alors dans ces petits êtres...
Lors de ces même moment de communion avec la nature, le maître Watanabe savait que son élève n'avait rien à envier au grand sages du monde, qu'il les égalait voir les surpassait en sagesse et il était lui même le premier dépassé et pourtant cette idée le faisait sourire, car malgré l'importante différence d'âge, il avait l'impression de ce retrouver chez Salarël, ce fut d'ailleurs l'une des raison qui peut expliquer son choix...
Ce fut à l'aube de ses 17 ans que Salarël se vit recevoir le plus grand honneur qu'un élève puisse espérer de la part de son maître d'arme, devenir le nouvel héritier des techniques interdites, devenir officiellement l'élève qui succédera au maître, endossant par la même occasion la charge de transmettre à son tour les facettes les plus secrètes de son art, et pourquoi pas, en créer de nouvelles, surpassant toutes les précédentes...
Suite au prochain post

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Post RP : Idem

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Rang souhaité : Arpenteur du vent

[Suite et fin de l'histoire]

Malgré tout son talent, il fallut à l'enfant prodige deux années entières pour maîtriser pleinement toues les techniques les plus interdites du vieux maître, mais alors que ce dernier n'avait plus rien à apprendre à son élève, et que la haine que lui portait les autres élève empêchait Salarël d'aider à l'apprentissage des autres, le vieux maître présenta celui qu'il considérait comme son fils auprès de l'un de ses plus proches amis et également adhérant à la rébellion. Il s'agissait là de Mahou Toshihiro, un mage respecté et craint par son potentiel extraordinaire et ses connaissances de la magie. Ce n'était plus que par lui que répondait Salarël, qui commençais alors l'apprentissage de la magie sous le joug d'un nouveau maître. Ce dernier, exactement de la même manière que le premier, fut agréablement surpris de la maturité et la sagesse de son nouvel élève, qui plus est, celle-ci semblait lui permettre de comprendre à la perfection les fondements de la magie. L'analyse et la compréhension des base de la magie ont permis aux maître de trouver en un temps record quelles étaient les affinités de son nouvel élève. Les deux purent ainsi écarter toute voie ce tournant malheureusement vers les élémentalistes, les plus nobles de magicien, toute voie ce tournant heureusement vers les nécromanciens, puis celles vers les démonistes et les devins. L'affinité la plus présente étant l'illusionnisme, le maître trouva pourtant une tinte de Zoomorphie dans les don de Salarël. Étrangement, cela n'était pas ce dernier car cela expliquait avec quelle facilité il pouvait dialoguer avec des animaux.
Ce fut donc à partir de cette liste des affinités de Salarël, que l'élève débuta un nouvel apprentissage, approfondissant énormément les talents d'illusion de ce dernier, pour entre temps développer les parcelles de Zoomorphe endormies afin de tirer quelque chose de ce pouvoir moindre dans les aptitudes de Salarël...

Après 5 années d'apprentissage, Salarël obtins enfin son statut de mage, associé à son état de guerrier samouraï, le jeune homme alors âge de 24 ans pouvait dès a présent se vanter de faire déjà partie des puissants. Contrairement à sa maîtrise du sabre, ses don de magie ne pouvaient en aucun cas avoir la prétention d'égaler ceux de son maître, de plus comme ce dernier n'était pas un grand maître illusionniste, il n'aurait pas pu de toutes façons obtenir des sort interdis ou secrets, mais cela lui était égal, car le niveau qu'il avait atteint lui avait dors et déjà assuré une place de choix dans les hautes sphères du monde.
Dans le dojo, les élèves qui avaient côtoyés Salarel et possédaient a peu près le même âge que ce dernier, n'avaient alors qu'à peine rattrapé leur retard vis à vis du prodige, et alors que tous s'entraînaient dans une salle commune sous la surveillance vigilante du vieux maître, une rossignol vint troubler l'attention de tous en s'engouffrant dans la pièce et dansant au milieu de tous. Lorsqu'un des élèves tenta de la chasser a grande brassées d'air, ce petit oiseau semblait comme muter de l'intérieur, accompagné par un halo de lumière trouble, l'oiseau n'en fut bientôt plus un, laissant à sa place un homme se tenant droit et fier de son nouveau pouvoir, Salarël venait de révéler sa vrai forme car sa connaissance de la Zoomorhpie, même faible lui permettait ainsi de se changer en ce noble oiseau qui est le rossignol...
Exhibant a tous ses nouvelles capacités, pensant obtenir un accueil triomphal pour son retour parmi les sien, il n'y eut que le vieux maître qui fut plus qu'heureux de retrouver son "fils" les autres n'avaient que retrouvé un sentiment désagréable, la jalousie avait retrouvée sa place dans tout les cours de élèves présents...

Après 3 années de séjour dans le dojo, le sentiment de ne pas être le bienvenue en ce lieu fut trop fort et surtout trop persistant malgré les efforts que fournissait Salarël pour se faire apprécier des autres et leur faire oublier leur jalousie. Ce fut peine perdue et fuyant le dojo pour entrer en temps que taupe dans les rangs de l'empereur, ce fut 5 années plus tard, alors que Salarël servait infidèlement ce tyran de la nation, que la complicité de son maître d'arme avec la rébellion fut découverte, l'ordre de tuer toute personne séjournant ou ayant séjourné dans ce dojo fut donné, ne pouvant laisser cela ce produire, Salarël s'engagea dans une lutte perdue d'avance, les hommes de l'empereur étaient bien trop nombreux et trop bien armés pour pouvoir penser sauver ceux qu'il avait côtoyé durant toute son enfance. Laissant s'échapper un hurlement de rage lorsque son maître tomba mort devant ses yeux, pour ensuite ôter une dernière fois la vie a une vingtaine de soldats de l'empire, il ne fut pourtant pas tué pour une raison qui lui ait inconnue. Il fut enfermée dans les geôles du palais, sûrement une tentative de l'empereur pour forcer Salarël à se reconvertir à ses rangs, le potentiel du Samouraï illusionniste était trop grand pour que l'on s'en prive de manière aussi stupide. Ce fut pourtant une erreur de ne pas tuer Salarël, car durant ces 5 années de service, une personne l'avait repérée et l'admirait de toute son âme. Un jeune garçon du nom de Lakirilas portant en plus haute estime Salarël et espérais bien un jour devenir comme lui. Engagé comme serviteur dans le palais, ce jeune homme aussi habile que rusé, aussi discret que fourbe parvint à subtiliser les clés des geôles, endormir les gardes et ainsi rendre visite au soldat enfermé pour lui faire une proposition, pour lui faire passer un marché. S'il voulait être libéré, il devait emmener avec lui Lakirilas et l'entraîner au sabre. Le jeune garçon paraissait doué et la sincérité se lisait sur son visage. Salarël fut touché et accepta plus qu'avec joie.

Ce fut de cette manière que Salarël parvint à quitter l'Empire du dragon et débuter avec son jeune serviteur Laki, un périple initiatique, afin de découvrir le monde, chose alors interdite dans le pays...

[Post Rp]

(Mon Post Rp raconte ma rencontre avec Lakirilas, et notre fuite de l'Empire du Dragon)

Depuis combien de temps cela durait, un jour ? Un mois ? Une année peut-être ? Cela n'importait peu, le désespoir qui rongeait Salarël était trop fort pour que ce dernier s'attarde sur des choses futiles comme la notion du temps, la faim ou encore le sommeil. Ne pouvant s'ôter l'image de cette nuit sanglante qui lui pris la vie de tout ses proches devant ses yeux, ne cessant inlassablement de ce remémorer ce douloureux souvenir en continu dans son esprit. En cet instant on ne pouvait reconnaître le grand Salarël tel que les autres avaient pu connaître, l'homme qui avant semblait dominer les autres par son charisme et sa prestance n'était plus désormais qu'un misérable prisonnier, condamné à l'enfermement jusqu'au jour où il daignera prêter allégeance à l'empereur, mais cela, il était évident que Salarël ne se résoudrait jamais à le faire...
Retournant perpétuellement chagrin et regrets, la rumeur d'un visiteur parvint alors aux oreilles de Salarël, l'extirpant de sa misère pour un cour instant car le tintement métallique des clé lui indiquait qu'il ne s'agissait que du garde alors venu assurer la garde des cellules. Jetant un regard méprisant à Salarël, le garde ne s'attarda pas et ne pris aucun soin de déposer sur le sol une assiette pleine d'une sorte de mixture qui devait faire office de repas au prisonnier. Exhibant sa propre assiette de soupe accompagné d'un large sourire, laissant clairement voir le plaisir qu'il avait a traiter ainsi les hôtes de ses geôles. Pourtant cette fois-ci, peut-être aurait-il du ravaler ses envies sadiques et gracieusement offrir son repas a son prisonnier car à la première gorgée, pour une raison qui était alors inconnue, ce n'était pas un gémissement de bonheur qui suivit, ni même une réaction agréable. Ce tordant de douleur, crachant des jets de sang répétition, qui accumulés formaient une flaque pourpre sur le sol. Le geôlier vint bientôt s'abattre lourdement dans cette dernière, éclaboussant quelque peu les alentours avant de ne plus pouvoir bouger le moindre doigt. Ce fut ainsi, dans un élan d'incompréhension total que Salarël assista à la mort de son gardien.

Ce ne fut qu'après un court moment que l'explication suivie l'agitation, car un jeune garçon pénétra la pièce, un sourire satisfait se formant sur son visage à la vue de l'homme étendu sur le sol, baignant dans sa marre de sang. Ce rapprochant alors du cadavre, s'abaissant lentement pour arracher le trousseau de clé à la dépouille pour ensuite le brandir à Salarël d'une main, avec dans l'autre un flacon portant une étiquette arborant une tête de mort. Se rapprochant alors de la cellule de Salarël, l'enfant se mis a chuchotter.

Ce soldat venais de prendre son tour de garde, sa mort nous donne une demi heure devant nous. Ces paroles dites d'un ton sur de soit et non pas dépourvut d'une légère fierté en soit, elles ne surprises pas moins Salarël qu'au plus haut point. Je me nomme Mirenas Lakirilas mais on m'appelle Laki, je suis venu vous faire une proposition à vous, seigneur Medramalech Salarël. Comme vous pouvez le constater je peut désormais aisément vous faire sortir de cette geôle, mais il y a une condition à cela, comme vous allez forcément devoir vous enfuir, je veut que vous me prenniez avec vous, je veut devenir votre élève, pouvoir marcher sur vos traces. C'est mon voeu le plus cher et l'unique condition à votre libération.

Cette révelation laissait perplexe le guerrier enfermé, l'idée d'à son tour prendre sous son aile un élève ne lui avait jamais effleuré l'esprit et pourtant à ce moment, cette pensée ne lui déplaisait pas. En complément à cela, la détermination du garçon était touchante, jamais Salarël n'aurait imaginé avoir un fan, il ne pensait trouver chez autrui que jalousie et vilenies. Dans tous les cas l'idée de pouvoir s'échapper de sa prison était plus forte que ces réflexions de pacotille et ce fut après quelques seconde que le prisonnier répondit à son " libérateur ".

J'accepte ton contrat jeune Laki, dit-il d'un ton assuré... Il est vrai que mon maître ayant rejoint l'outre monde, il me revient à moi, son dernier héritier en quelque sorte, de transmettre l'art du sabre à mon tour, suivant son enseignement, tu parviendra sûrement au même niveau que moi que tu sera sortit de l'adolescence et bien entamé ton âge adulte.

Un sourire sur le visage, les propos du guerrier respiraient la sincérité. L'enfant alors mis en confiance esquissa un geste fébrile pour enfoncer la clef dans la serrure et ouvrir la cellule, un léger doute dans le regard. Ce même doute fut immédiatement levé par Salarël..

N'ait crainte, dit-il sur un ton quelque peu bienfaisant. Un vrai samouraï se doit d'être honnête en toute condition, son honneur est en jeu pour chaque parole qu'il prononce. C'était l'un des fondements de la voie du sabre de mon maître, fondement que j'ai adopté lorsque j'ai été invité sous son autorité et fondement qu'il te faudra suivre si tu veut effectivement suivre mes trace.

Un regard bienveillant ainsi qu'un sourire accompagnant ses paroles, Salarël avait ainsi chassé tout doute du corps de son nouveau protégé. Tout deux pouvaient alors entreprendre une fuite silencieuse si cela pouvait être possible. Ne disant un mot, suivant le jeune garçon, Salarël se contentait de garder à vue celui qui visiblement connaissait ce palais comme sa poche. Sans éveiller le moindre soupçon, ce fut une fois la dernière porte franchie que cris d'alerte et cloches d'alarme se firent retentir, cela faisait dont une demi-heure que Salarël et Laki fuyait ? Visiblement le guerrier n'avait pas encore retrouvé la notion du temps, il se demandait d'ailleurs comment l'on pouvait déjà être à une heure avancée de la nuit. Contrairement à cela, se retrouver dehors lui fit retrouver la notion de la faim car son estomac criait famine. Encore heureux que les deux protagonistes était à l'extérieur. Ces gémissements auraient pu trahir leur agissements plus tôt que prévu et cela aurai réellement été fâcheux.

Ne sachant réellement être maître de la situation, les évênements allaient quelque peu trop vite pour Salarël, a peine étaient-ils sortis du palais impérial qu'ils s'étaient retrouvé visiblement dans la demeure d'un amis de la rébellion, le sourire sur le visage à le vue de Salarël pour l'instant d'après remettre au guerrier son armure et ses sabres. En offrant une dernier à Laki qui, visiblement contrôlait bien mieux la situation que son nouveau maître, ne perdis pas une seconde. Traînant presque Salarël par la manche, ce fut dans l'ombre d'une maison, armé de grappins ficelé à une corde que les deux hommes étaient parvenus au premier mur d'enceinte, séparant les nobles, les samouraï et les magicien des paysans. Sous la clarté de la lune, ce fut bien avant que l'alerte atteignit cette même palissade que salarël et Laki l'eut franchie. A partir de ce stade la suite des évènements était comme déjà tracée, les gardes avait bien trop de retard sur les fuyards qui déjà étaient parvenus à le seconde enceinte, celle-ci contraignant tout les villageois à stagner dans la ville, servir et nourrir les nobles.

[Suite au prochain Post]

Le mur était alors bien trop haut et trop abrupte pour espérer lancer un grappin ou l'escalader, le jeune Laki semblait quelque peu perplexe, apparemment lui même n'avait pas prévu de fuite, les contacts dans la basse ville étaient presque impossible, personne de toute évidence n'aurait pu aider les deux hommes a fuir et au vue de la dizaine de garde cernant la porte, le jeune Laki semblait bloqué, à la limite du désespoir. Cela, Salarël l'avait bien compris et retrouvant alors pleinement l'usage de ses moyens, il posa délicatement sa main sur l'épaule du jeune homme alors posté devant lui. Le regard braqué vers les gardes d'un air assuré, la main déjà étreignant le pommeau de son sabre, le Samouraï glissa quelques mots à son élève avant d'entreprendre une marche lente vers les soldats de l'empire. " C'est à mon tour" avait-il dit à son élève, ce dernier en admiration devant son maître, avançant d'un pas déterminer vers l'ultime barrière s'opposant à leur fuite. Jetant un dernier regard à son élève avant de sortir son arme, déjà les yeux du guerrier semblaient s'embraser d'un feu vert mystérieux. Tel un démon venu réclamer vengeance, à sa vue les soldats prirent peur et se défendre était alors devenu presque impossible. Pris par la surprise et saisi par la panique, il ne fallut pas plus de trois balayages de sabre pour clouer sur le sol tous les "gardiens". Ne laissant derrière eux que nombre de dépouilles gisantes et sanglantes, le passage vers le monde extérieur était alors grand ouvert. Arpentant les sentiers sous la lumière de la lune, ce fut une fois arrivé au premier village voisin que Salarël et son élève stoppèrent leur marche. Cherchant du regard la taverne des lieux en quête de restauration et de repos, les deux hommes pénétrèrent dans un établissement qui ne payait réellement de mine mais cela leur était suffisant.

Choppe en main et repas digne de ce nom devant eux, ce ne fut qu'à ce moment que Salarël posa enfin attentivement le regard sur son élève. Ce même regard alors attiré par les yeux de Laki, ce fut avec étonnement que le guerrier constata qu'ils étaient bleu. Cette découverte entraîna un commentaire intéressé de la part du maître à son élève...

Tes yeux... Leur couleur est tellement profonde, tellement pure. Ils me font penser à de l'eau, ruisselant dans ton corps comme pour te purifier.

Un sourire accompagnant cette remarque, Salarël avait pris cela plutôt comme un compliment où une remarque à prendre sur le ton de la blague, mais la déception se lisait sur le visage de Laki, semblant prendre cette remarque comme une reproche, comme un fardeau.

Je sais, mes yeux me symbolise plutôt bien. Un être faible ne sachant emprunter un chemin autre que celui déjà creusé. L'eau est faible, elle peut être dominée par les hommes, elle n'aspire qu'à les nourrir.

Tu à tord mon élève, rétorqua Salarël... L'eau est puissante, elle creuse les montagnes, fait rouiller l'acier des armes et inonde les terres des hommes si l'envie lui prend. Une eau déchaînée ne peut être contrôlé. Tu recèle en toi un grand pouvoir, ne le traite en aucun cas comme un fardeau. Maintenant restaure toi, une grande route nous attend. Nous allons accomplir une chose qui nous à toujours été interdite, nous partons découvrir ce monde dont l'accès nous à été barré durant toute notre vie...

Après ces mots, Laki ne dit plus un mot, son respect envers son maître n'était que plus grand encore et la fierté d'être son élève l'envahissait alors. Une nouvelle route s'offrait à lui. Le petit ruisseau qu'il était allait à force de patience creuse son propre chemin. Allait à force de persistance arpenter une direction nouvelle, lui apportant bonheur et confiance, rien n'aurait pu ce soir là porter atteinte au moral du jeune garçon qui déjà rêvait de ses aventures lointaines et imminentes à la fois...

[Voila FIN ^^ j'espère que vous avez apprécié, mon Rp sera la suite de ce post, j'attend ma validation by Nath ]

Yep Accepté Smile

Bienvenue parmis nous, Seigneur Salarël...

Par contre, dans le premier dialogue de Laki, il passe du vouvoiement au tutoiement, ça fait bizarre ><

Effectivement j'avais commencé à rectifié le tutoiement en vouvoiement pour augmenter le respect qu'il porte à son maître mais j'ai du m'arrêter à la première ligne allez savoir pourquoi XD

Sur ce c'est corrigé et je suis heureux d'avoir obtenu mon rang désiré ^^