Qualifier les abords de la Cité Impériale, les maisons les plus près des remparts, de quartier pauvre est une légère exagération. Si, de fait, on y rencontre un peu plus de mendiants et que la saletée est plus présente dans les rues, nul ne peut dire que la misère y est omniprésente. Les maisons sont plus petites, un peu moins rutilantes que les habitations du cnetre, mais même si la fumée est moins souvent nettaoyée sur les murs ou les vitres, nul n'est contraint a la rapine ou a la mendicité pour survivre. Tous les habitants ont assez d'économies pour déposer de temps a autre une piécette dans la timbale des mendiants, et tous mangeant a leur faim.
Les boutiques sont apr contre quasiment absentes de ces quartiers, préférant la proximité de la Forteresse de Granit aux remparts peu fréquentés. Mais les auberges et tavernes y sont nombreuses, peu fréquentable dans la plupart des cas, et l'établissement le plus abordable de ces quartiers et la Taverne des trois Rues, où quasiment caque soirs éclate une rixe...